samedi 9 avril 2016

Infos du pèlerinage des pères de famille en Bigorre 2016

Infos du pèlerinage des pères de famille en Bigorre 2016

Pèlerinage des pères de famille en Bigorre 1,2,3 juillet 2016 5ème édition dans le diocèse de Tarbes et
 Lourdes De l'Escaladieu à Lourdes logo_PPF_2016_v11.png
Thème 2016 : « Que votre âme trouve sa joie dans le miséricorde du Seigneur ! »Ecclésiastique 51, 29
Vous avez envie de faire une pause, vous voulez prendre le temps de réfléchir à votre situation de père de famille, vous voulez trouver des épaules qui vous soutiennent et des frères qui vous comprennent?
Venez rencontrer et échanger avec d'autres pères de famille venus de tous horizons, Venez partager, méditer et vous ressourcer. Bloquez sur votre agenda ce moment fort de l'année.
Pour la 5ème édition, partant de l’abbaye de l’Escaladieu vendredi 1er juillet midi, nous emprunterons le chemin de Saint-Jacques (GR 78) pour rejoindre Lourdes dimanche 3 juillet après-midi où une messe sera célébrée pour nous.
Vendredi 1 juillet :12h00 regroupement et départ à l’abbaye de l’Escaladieu. Bivouac à l’Est de Bagnères-de-Bigorre. Environ 14 km. Messe célébrée le vendredi soir ou samedi matin. Possibilité de ravitaillement au bivouac si arrivée dans les temps sinon à Bagnères le samedi matin.
Samedi 2 juillet : vers 08h00, regroupement et départ. Arrêt bref à Bagnères pour ravitaillement. Bivouac sur le chemin. Environ 16 km.
Dimanche 3 juillet : Fin de matinée arrivée à Lourdes. Environ 10 km. 13h00 repas en famille au sanctuaire de Lourdes et messe à 15h00 dans une chapelle du sanctuaire.

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Pour le mariage et la famille, dans toute l’Europe, les AFC soutiennent l’Initiative Mum, Dad & Kids !

Communiqué de pressemumsdadskids
Nous croyons que la famille est la cellule de base de toute société !
L’Article 9 de la Charte des droits fondamentaux de l'Union Européenne (UE) affirme que chaque État membre est compétent pour légiférer sur la définition du mariage et de la famille.
Pourtant les textes de l’UE évoquent de plus en plus souvent la famille. Certains textes vont même jusqu’à la définir… Qui plus est ces définitions diffèrent d’un texte à l’autre !
Or d’un pays européen à l’autre, le mariage et la famille revêtent dans les lois nationales des réalités de plus en plus différentes.
Cette confusion, rend impossible l'interprétation et l'application de ces textes.
Face à cette situation l’ECI Mum, Dad & Kids invite les Européens à soutenir l’inscription des définitions suivantes dans les textes européens :
- « Le mariage est l’union durable d’un homme et d’une femme »
- « La famille est fondée sur le mariage et/ou la descendance »
Ces définitions sont reconnues par la législation de la majorité des États membres de l'UE ; elles permettent de respecter l'article 9 de la Charte des droits fondamentaux de l'UE.
En France, les AFC soutiennent cette pétition car elles croient qu’une définition claire de la famille et du mariage dans les textes européens est nécessaire, pour éviter toute dérive, compte tenu de l’importance du facteur famille dans de nombreux sujets de la compétence de l’Union Européenne, même si le droit de la famille reste une compétence nationale.
Pour être recevable, l’ECI doit recueillir dans les 12 mois un minimum de 1 million de signatures provenant d’au moins sept États membres différents, et 55 500 signatures en France.
Signer la pétition maintenant

mercredi 6 avril 2016

vous êtes invités: soirée exceptionnelle ciné-débat Lejeune à Lourdes


Vous êtes invités mardi 12 avril 2016 à Lourdes pour une soirée unique sur Jérôme Lejeune.

Au programme :

- projection du film sur le professeur Lejeune : "Aux plus petits d'entre les miens"
- débats et échanges avec Thierry de La Villejegu, directeur de la fondation Lejeune en présence de Mgr Brouwet.
Une occasion exceptionnelle de (re)découvrir ce grand serviteur et défenseur de la Vie.
Rendez-vous mardi 12 avril à 20h30, lycée-collège Peyramale-Saint Joseph à Lourdes.

Images intégrées 1

vendredi 1 avril 2016

communiqué de presse:Avortement : toujours plus !



Avortement : toujours plus !

La litanie promouvant « le tout IVG » continue obstinément : remboursement à 100% (2013), suppression de la « condition de détresse » (août 2014), élargissement du « délit d’entrave » (août 2014), affirmation d’un prétendu « droit fondamental » à l’avortement (novembre 2014), élaboration d’un « Programme national d’action » (janvier 2015), suppression du « délai de réflexion » de 7 jours (janvier 2016).
Le Ministère des Affaires Sociales et de la Santé prévoit désormais la prise en charge à 100%, outre de l’IVG proprement dite, du parcours IVG (consultations, examens de biologie médicale, échographies pré et post IVG…) à compter du 1er avril 2016.
Ainsi, les échographies des femmes décidant de mettre fin à leur grossesse seront mieux remboursées que celles des femmes choisissant de porter leur enfant à terme, les deux premières étant remboursées à 70% !!
Quelle est la validité d'un remboursement différencié alors que dans les deux cas les femmes sont enceintes ?
La mesure paraît tellement absurde que l’on pourrait même penser, si la question n’était pas si grave, à un mauvais poisson d’avril… Ce « choix » unique de l’avortement, dicté par une politique sourde, appuyée par une communication univoque qui refuse toute interrogation, toute réserve…, pourtant propres à une société démocratique, est-il vraiment de nature à permettre un « choix », libre et éclairé, pour les femmes ? Une politique de santé peut-elle, aussi, continuer à passer sous silence, « comme quantité négligeable », le sort des 220 000 enfants à naître qui, chaque année en France, ne voient pas le jour ?
Les AFC sont convaincues qu’une autre politique de santé publique est possible : 
  • Rembourser aussi à 100% les femmes qui font le choix de mener à terme leur grossesse !
  • Développer une véritable politique publique de prévention contre le drame de l’IVG : éducation affective et sexuelle, identification des populations à risque et développement des aides dans leur direction (aides sociales, aides au logement, aides pour l’accueil de l’enfant...)
Les AFC remarquent que d’autres pays européens parviennent à faire baisser leurs taux d’IVG (Allemagne moins de 100 000 avortements pour 80 millions d’habitants). A l’approche d’échéances électorales majeures, les AFC interpelleront les candidats sur les mesures qu’ils prévoient de prendre à ce sujet. La situation où une grossesse sur 5 aboutit à un avortement ne peut perdurer dans notre pays.
Les mesures pré citées questionnent le principe de la neutralité de l’action publique. L’Etat ne devrait il pas , dans le respect de ce principe, promouvoir  et financer des dispositifs pour accompagner au mieux les personnes  désemparées  face à une grossesse inattendue ?

mercredi 2 mars 2016

« L’embryon humain est l’un de nous » affirme la nouvelle fédération d’associations européennes"

Visuel unedenousEuthanasie, GPA, marchandisation du vivant, eugénisme et transhumanisme sont devenus des réalités en Europe, tant et si bien que des associations représentant 16 pays européens se sont rassemblées pour se faire entendre des institutions nationales et européennes. Cette fédération se réunit autour du mot d’ordre « One of Us » (Un de nous ), en référence à l’Initiative Citoyenne Européenne menée en 2013 qui demandait l’arrêt des financements accordés par l’Union Européenne à des travaux de recherche sur l’embryon et aux programmes de développement de l’avortement dans les pays tiers.
En 2013, les AFC soutenaient déjà l’initiative Un de nous en appelant ses adhérents à signer la pétition européenne. Aujourd’hui, à nouveau, les AFC soutiennent le lancement de cette Fédération qui se fera à l’occasion du forum UN DE NOUS, le 12 mars prochain à la salle Gaveau (PARIS) devant 1 200 participants.
De nombreuses personnalités européennes et françaises interviendront dont, pour la France : Jean-Marie le Méné, Président de la Fondation Jérôme Lejeune ; Philippe de Villiers, ancien Ministre, écrivain ; Jean-Frédéric Poisson, député, candidat aux primaires « Les Républicains » pour l’élection présidentielle ; Ludovine de la Rochère, Présidente de la « Manif pour tous » ; Geneviève Verdet, AFC ; Grégor Puppinck, directeur du Centre européen pour le droit et la justice.
Renseignements et inscriptions sur le site undenous.fr

Mieux choisir votre banque grâce au comparateur de tarifs

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Un comparateur public gratuit des tarifs bancaires sur internet permet depuis le 1er février 2016 de comparer les tarifs facturés par 155 établissements bancaires sur les principaux frais, dont les commissions d'intervention.
Le site, très simple d'utilisation, permet de filtrer les listes de tarifs géographiquement et en fonction d'un service en particulier, montrant parfois des différences de prix allant du simple au triple ! L'interface permet de comparer jusqu'à 6 services différents dans toutes les banques d'un département.
Cette transparence renforcée sur les tarifs devrait permettre aux consommateurs de choisir leur banque en connaissance de cause.
Consulter le comparateur

mercredi 10 février 2016

Communiqué AFC - Fin de vie : un pas inutile et de trop

Fin de vie : un pas inutile et de trop

La proposition de loi CLAEYS-LEONETTI créant de nouveaux droits en faveur des malades et des personnes en fin de vie a été ratifiée le 2 février (JORF du 3 février 2016) après son adoption à l’Assemblée Nationale et au Sénat.

Ces nouveaux droits changent l’optique de la loi LEONETTI, votée à l’unanimité en 2005. Celle-ci permettait de laisser mourir sans faire mourir, en dénonçant l’obstination déraisonnable,  et donnait la parole aux patients par la possibilité de rédiger des directives anticipées.

Cette nouvelle loi veut  donner de nouveaux droits aux patients, qui s’imposeront aux médecins, notamment :
  • Les directives anticipées ne seront plus seulement consultées, mais seront  contraignantes pour les  médecins. Les amendements apportés par le Sénat ont cependant redonné un peu de parole aux médecins pour éviter qu’ils ne deviennent des exécutants de la volonté des patients.
  • Les patients ont le droit, lorsqu’ils le décident, dans le cas d’une maladie grave et incurable
    • d'arrêter des traitements qui les maintiennent en vie, y compris la nutrition et l’hydratation artificielles désormais considérées comme traitements,
    • de demander une sédation profonde et continue jusqu’au décès.
Certes il faut justifier d’une souffrance insupportable, mais la souffrance étant un terme global qui ne se limite pas à la douleur physique, ce critère est très subjectif et ne constitue qu’un faible garde-fou contre une éventuelle demande d’assistance au suicide.

Tout en rejetant tout acharnement médical, les AFC s’inquiètent des risques de dérapages que ces nouvelles dispositions pourraient favoriser en direction du suicide assisté et de l’euthanasie, même si ces dispositions extrêmes semblent écartées.

Les AFC redisent leur attachement au respect de la vie jusqu’à son terme naturel. Elles souhaitent que chaque personne souffrante ou en fin de vie puisse bénéficier de soins palliatifs et de l’accompagnement de personnes respectueuses, délicates et attentives.